QUAND RCI ET MARTINIQUE 1è REVENT D'UNE CANDIDATURE DU DEFENSEUR DU CEREGMIA
Le petit monde du journalisme à la Martinique est tellement amusant que parfois, ça en devient grotesque. C'est ainsi que depuis quelques mois, certains journalistes tant de RCI que de MARTINIQUE 1è s'agitent comme de beaux diables et poussent à la roue pour que non seulement Philippe EDMOND-MARIETTE, l'avocat du CEREGMIA (qui s'est courageusement retiré juste avant que la justice universitaire ne révoque son principal client, Fred CELIMENE, et mette à pied sans salaire et pour plusieurs années, les deux comparses de ce dernier) soit candidat sur la circonscription du Nord-Atlantique, mais pour qu'il soit aussi soutenu par le...MIM.
La ficelle est tellement grosse qu'elle ressemble à une corde-Mahault, mais mal ficelée.
On comprend que derrière ces manœuvres il doit bien y avoir des organismes occultes, les mêmes qui cherchent à reprendre le contrôle du Pays-Martinique après leur défaite cinglante de 2015, étant bien entendu que ladite défaite n'est pas uniquement celle du PPM/EPMN, mais aussi du G 20 et donc de certaines personnes du GRAN SANBLE. Seule la maestria politique d'Alfred MARIE-JEANNE ainsi que sa verticalité idéologique ont pu mettre en échec ce qui a relevé d'un véritable complot, mais l'horloge biologique tourne et chacun sait qu'à un moment ou un autre, "CHABEN" ne sera plus là pour faire taire les appétits des uns et des autres. Alors les héritiers potentiels ou putatifs affûtent leurs armes et recommencent à sortir du bois à l'occasion des prochaines élections législatives.
Dans cette soupe-à-Congo de mauvais augure, la candidature de Philippe EDMOND-MARIETTE pourrait permettre de contrer un jeune loup, Fabrice DUNON, qui a eu le grand tort, aux yeux des comploteurs, d'avoir toujours montré et démontré une loyauté sans faille envers Alfred MARIE-JEANNE. Chose que ce dernier lui a rendu en annonçant publiquement son soutien à la candidature du Lamentinois dont personne ne pourra dire, connaissant les particularismes locaux et le nombrilisme de certains, qu'il n'a pas "bu l'eau de la rivière Longvilliers".
On devine que l'ex-défenseur du CEREGMIA trépigne d'envie de s'asseoir à nouveau dans les fauteuils rouges de l'Assemblée nationale. Mais pour y faire quoi ? Il a déjà été député et le moins qu'on puisse dire c'est qu'on n'a pas gardé un souvenir impérissable de son passage dans ce prestigieux hémicycle...