"Le risque d'un nouveau Février 2009", pointe-t-il du doigt...

  Le PPM avait, assez démagogiquement, tiré son épingle du jeu lors de la grève générale d'un mois qui avait bloqué la Martinique en février 2009. On avait même pu voir son lider maximo les yeux rougis, hagard en pleine rue, à cause de la fumée des grenades lacrymogènes lancés par les forces colonialistes blanches qui oppriment la Martinique depuis la nuit des temps (en fait, depuis l'époque où le Diable n'était encore qu'un petit garçon, comme on disait autrefois-jadis). Mon dieu ! Mon dieu ! Qu'est-ce qu'ils étaient Martiniquais, tous ces PPMistes !  pourrait-on dire en paraphrasant le Grand CHARLES. A l'inverse, Claude LISE s'était fait insulter sur le trajet entre le Conseil général qu'il présidait à l'époque et la Préfecture où se tenaient les négociations quadripartites entre l'Intersyndicale, le patronat, l'Etat et les élus. Quant à Alfred MARIE-JEANNE, un meilleur sort ne lui avait pas été réservé par les hordes déchaînées en tricots rouges qui s'en allaient gaillardement "pou laviktwa".