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CASE-PILOTE : REUNION MENSUELLE DE MARTINIQUE-ECOLOGIE

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CASE-PILOTE : REUNION MENSUELLE DE MARTINIQUE-ECOLOGIE

CASE-PILOTE : REUNION MENSUELLE DE MARTINIQUE-ECOLOGIE

   Ce vendredi 17 février la section-Nord de MARTINIQUE-ECOLOGIE s'est réunie à la MJC de Case-Pilote où pendant plus d'une heure, le président du parti et également conseiller exécutif à la CTM, Louis BOUTRIN a fait le bilan d'1 an d'activités concernant les domaines dont il a la charge. Il a d'abord évoqué la question du transport maritime et la réouverture prochaine de la ligne Case-Pilote-FDF ainsi que le projet de "hub"à Saint-Pierre qui desservira toutes les communes de la côte caraïbe et le Morne-Rouge. Il a abordé ensuite la question de l'énergie et notamment du partenariat avec l'île de la Dominique pour acheter de l'énergie chez cette dernière tout en augmentant la part des énergies renouvelables dans la production martiniquaise (géothermie aux Anses d'Arlets et Montagne Pelée ; éoliennes nouvelles générations etc.).

Il est revenu aussi sur la proposition formulée en 2007 dans le livre qu'il a co-écrit avec Raphaël CONFIANT sur la question du chlordécone ("Chronique d'un empoisonnement annoncé"), proposition qui consiste à replanter en canne les 6.000 hectares de terres agricoles les plus contaminées sur les quelques 20.000 touchés. L'objectif est de produire du bioéthanol. Sinon il a rappelé que la CTM et son président, Alfred MARIE-JEANNE, se sont toujours opposés au projet d'usine biomasse de Trinité dont ils ont refusé de rencontrer les dirigeants et qui ne s'inscrit nullement dans le programme "Energie" de la collectivité pour les prochaines années. Il a ensuite évoqué la question des aides aux agriculteurs en grande difficulté mises en place par la CTM, aides qu'il a expliquées au cours de trois réunion, la dernière ayant eu lieu la veille au Vauclin devant une centaine de petits exploitants du Sud. Louis BOUTRIN a terminé sa présentation sur le sport et l'augmentation notable du budget désormais alloué à celui-ci.

   S'en est suivi une séance de questions-réponse sur ces différents sujets avec comme point d'ordre la question d'un militant sur l'éventualité que Louis BOUTRIN se présente aux législatives dans la circonscription Nord. Celui-ci a alors demandé un vote qui a vu une réponse positive de la majorité des présents, sauf trois d'entre eux. Toutefois, le président de MARTINIQUE-ECOLOGIE a déclaré qu'il donnera sa réponse définitive courant mars prochain.

Image: 

DÉCLARATION DE CANDIDATURE DE FRANCIS CAROLE AUX ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DE JUIN 2017 DANS LA CIRCONSCRIPTION DE FORT-DE-FRANCE

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DÉCLARATION DE CANDIDATURE DE FRANCIS CAROLE AUX ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DE JUIN 2017 DANS LA CIRCONSCRIPTION DE FORT-DE-FRANCE

DÉCLARATION DE CANDIDATURE DE FRANCIS CAROLE AUX ÉLECTIONS LÉGISLATIVES DE JUIN 2017 DANS LA CIRCONSCRIPTION DE FORT-DE-FRANCE

J’ai décidé, avec le soutien d’un large rassemblement de forces politiques, de faire acte de candidature aux élections législatives de juin 2017, dans la circonscription de Fort-de-France.

Depuis de nombreuses décennies, mon engagement pour la Martinique et Fort-de-France a été constant et total. Il a couvert tous les champs de l’action militante et publique.

Dans un contexte politique de plus en plus délétère, marqué par la perte de sens, ici ou là, j’ai toujours inscrit cet engagement dans les valeurs de solidarité, d’honnêteté à l’égard de nos concitoyens et de respect de l’intérêt général.

Cette candidature unitaire intervient dans un moment de notre histoire où, nous Martiniquais, sommes confrontés à des défis majeurs qui détermineront notre futur commun :

-défi du développement de notre pays, qui pose la mise en œuvre d’un nouveau modèle économique;

-défi démographique qui menace les conditions d’existence de notre peuple et nous commande d’agir sans délai pour mettre fin au départ massif de nos jeunes et mieux accompagner nos aînés;

-défi écologique pour surmonter l’impact du réchauffement climatique sur notre pays;

-défi social pour faire face à l’urgence tout en préparant, collectivement, l’avenir et un nouveau cadre sociétal.

Ces défis ne sauraient être relevés avec succès que si nous sommes en capacité d’être, toutes et tous, auteurs et acteurs de notre destin commun. L’unité de nos forces, ici présentes, se veut la condition essentielle du sursaut populaire et citoyen que nous voulons et que nous devons susciter pour redonner conscience et confiance à la Martinique.

Le rôle du député martiniquais ne consiste pas à voter, par calcul politicien ou par « amitié », la baisse des dotations aux collectivités, la poursuite de l’épandage aérien de pesticides, la loi El Khomri, qui constitue une régression sociale sans précédent, ou encore l’utilisation du 49-3 pour imposer aux catégories sociales les plus modestes des mesures impopulaires.

Il ne consiste pas davantage à user de ses prérogatives pour couvrir des errements comme l’affaire CEREGMIA.

Je convie Fort-de-France à créer les conditions politiques nécessaires, en juin 2017, pour mettre définitivement un terme à des pratiques et à des mœurs qui n’honorent ni notre pays, ni la fonction de député.

La fonction principale du député martiniquais, telle que nous l’envisageons, est de défendre sans compromission les intérêts de notre pays en permettant des avancées significatives dans tous les domaines qui concernent le présent et le futur des Martiniquaises et des Martiniquais.

J’appelle la jeunesse, les femmes, les forces vives de de la circonscription de Fort-de-France à se rassembler autour de nous pour ouvrir enfin une autre page de l’histoire de Fort-de-France et de la Martinique.

Francis CAROLE

Fort-de-France

Samedi 18 février 2017

Dictature des Duvalier et les masturbations intellectuelles de Michelle Bennett!

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Dictature des Duvalier et les masturbations intellectuelles de Michelle Bennett!

James Marc Donald ORPHÉE
Dictature des Duvalier et les masturbations intellectuelles de Michelle Bennett!

Elle accuse une présence soutenue sur la toile en écrivant au jour le jour des lettres ouvertes aux multiples destinataires. Elle y est pour éplucher les critiques qu’on adresse à son ancien mari dictateur, Jean Claude Duvalier. Dans ses nombreuses lettres, elle brosse, à cette génération qui n’a pas connu la dictature homicidaire de son mari , le portrait d’un pays régnant dans le progrès le plus parfait .
Cependant, dans ses lettres dénommées Points sur les I, madame oublie toujours de barrer les T. Ces T sont écrits dans l’histoire. L’histoire qui tient à rappeler le caractère sanguinaire du régime de son mari. L’histoire des faits que se lit sur le visage de chaque victime du régime.

Est ce que des lettres ouvertes peuvent effacer la mémoire de tout un peuple ? Est ce que des lettres peuvent réparer tous les dégâts que le régime de son mari a orchestrés?

Sous la dictature de Jean Claude Duvalier, on maltraitait les opposants politiques, on massacrait des journalistes opposants, on pillait l’argent du peuple, on hypothéquait l’avenir du pays . Alors que cette même dame se contentait de rassembler de l’argent pour s’offrir une vie luxueuse.

À l’heure actuelle, le peuple n’a pas besoin de se rappeler de la dictature de Jean Claude Duvalier pour se démarquer de la réalité, il attend la restittution de son argent qu’on lui a ravi.
La banque mondiale sur le développement affirme que Jean Claude Duvalier s’est enfui avec 1,6 milliards de dollars . Cette somme d’argent pouvait engendrer des avancées majeures dans le cadre du développement du pays. Pourtant, avec cette somme , Jean Claude Duvalier , s’est offert une vie dispendieuse en France. Il fallait au peuple une lettre ouverte en ce sens.
Dommage ! Cette jeunesse ne mesure pas trop la cruauté de la dictature de Jean Claude Duvalier, alors qu’elle est l’instigatrice des malheurs qu’elle endure aujourd’hui. Le règne sanglant des Duvalier a tout vassalisé. En ce sens, madame n’a aucune autorité morale pour faire des remontrances à quiconque. Si elle veut aider Haïti, qu’elle prenne son argent pour venir en aide aux oubliés de Cité Soleil, La saline … Elle pourrait peut être obtenir le pardon des haïtiens.
En ce qui a trait à son mari, avant de mourir , il a eu le temps de voir son spectre.
L’histoire ne prête jamais à l’oubli!

James Marc Donald ORPHÉE

 

Source : http://haitireyel.com/2017/02/16/dictature-des-duvalier-et-les-masturbations-intellectuelles-de-michelle-bennett/

SÉKIRITÉ

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Kréyolad 653

SÉKIRITÉ

Jid
SÉKIRITÉ

Tout sé jou-tala Nouvo Plato Teknik Laména-a mété kò’y an mannev pou ni plis sékirité adan lopital-la. Chonjé pa ni lontan an gwo dilè kokayin chapé anlè sé polisié-a. Yo pa menm wè akilè.

Sé sirtou pa koté Lézirjans yo fè éfò. Asiparé komkidiré moun malad té ka rété ka espéré pandan aprochan katrè an koulwa-a.

Lot jou ni an mami éti tjè’y pa té pé tjébé ankò, jik ladjé. I pa té pé atann ankò, i té simié pati an péyi san chapo pito.

Sa vré épi nouvo zouti-tala anlo moun ka atann plis. Yonndé badjolè té ka badjolé asou zafè sékirité lopital-la.

Adjilbè di mwen:

— Man ni an konpè mwen ki antré pou an opérasion. Sa bien pasé, mé i sòti épi anlot maladi. Yo kriyé sa maladi «Noz o komial!»

Man pa noz palé di sa, mé asiré sé pa lè’w mayé sa ka rivé. Sé pito mové ijièn ka potijiré’w sa. Atjelman sé vakabon-an ké ni sa pou di pas ni an patrouy polisié espésial kè alévini pou opozé moun boulé, oben sa ki pété tet yo goumen épi zam.

Asiré moun ké tibren pli trantjil pas ou pé pa ka alé lopital ek ou pa an sékirité.

Jid

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Francis Carole : "Serge Letchimy a usé de ses prérogatives pour couvrir des errements comme l'affaire CEREGMIA"

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Francis Carole : "Serge Letchimy a usé de ses prérogatives pour couvrir des errements comme l'affaire CEREGMIA"

Francis Carole : "Serge Letchimy a usé de ses prérogatives pour couvrir des errements comme l'affaire CEREGMIA"

   La campagne pour les prochaines législatives est en train de prendre son rythme de croisière puisque pas moins d'une vingtaine de candidats se sont déjà déclarés. Samedi 18 février, c'était au tour du président du PALIMA, Francis CAROLE de le faire, entouré de représentants des partis alliés au sein du GRAN SANBLE à savoir le MIM, le CNCP/APAL, MARTINIQUE-ECOLOGIE et le PCM. Il a mis au centre de son discours "l'absence de compromission" et le rejet des magouilles qui entachent malheureusement la vie politique et décrédibilise cette dernière aux yeux des citoyens, les poussant ainsi à s'abstenir. Il a notamment pointé du doigt l'actuel député du Centre, Serge LETCHIMY, président du PPM, qui a :

   "...usé de ses prérogatives pour couvrir les errements comme l'affaire CEREGMIA".

   Ce faisant, Francis CAROLE n'a ni exagéré ni pris le risque d'être poursuivi en diffamation car à maintes reprises, tant en radio qu'en télé, ou dans l'organe du PPM, Le Progressiste, Serge LETCHIMY et d'autres membres de son parti ont pris fait et cause pour Fred CELIMENE et les mafieux du CEREGMIA. Avec Victorin LUREL, LETCHIMY a pesé de tout son poids, notamment auprès du gouvernement socialiste français qu'ils soutiennent, afin que l'affaire du CEREGMIA soit étouffée. Ils ont ainsi pourri la vie de l'ancienne présidente de l'Université des Antilles, Corinne MENCE-CASTER au cours des trois dernières années de son mandat et cela de la manière la plus vile puisqu'on a vu un Camille CHAUVET, membre du PPM, détourner une photo officielle de L'Elysée sur laquelle la présidente figurait à côté de François HOLLANDE et mettre à celle-ci une tête de chien. Au cours de ces trois années d'enfer, d'autres universitaires qui combattaient le CEREGMIA, comme l'ancien doyen de la Faculté des Lettres et Sciences humaines, Raphaël CONFIANT, furent injuriés, calomniés, vilipendés et même menacés de mort. Or, toutes ces personnes ne faisaient que s'appuyer sur des rapports rédigés par les plus hautes institutions de la République française : la Cour des Comptes (qui a écrit 2 rapports accablants contre le CEREGMIA), le Sénat et l'IGAENER (Inspection Générale de l'Education Nationale et de la Recherche).

   Non content de ce soutien tous azimuts au CEREGMIA, on se souvient aussi que Serge LETCHIMY, alors président de Région, avait tenté de faire voter une subvention d'1 million d'euros au profit de ce pseudo-groupe de recherches en économie et qu'il avait fallu une mobilisation des enseignants, étudiants et personnels administratifs et de service du campus de Schoelcher, lesquels avaient envahi le hall de l'ex-Région, pour obliger le président du PPM et sa majorité à faire machine arrière. Cette subvention devait en plus être attribuée pour un projet, "L'analyse du système éducatif à la Martinique", pour lequel le CEREGMIA n'avait aucune compétence !!! Finalement, la justice administrative a tranché, plus rapide qu'elle est que la justice pénale, en révoquant Fred CELIMENE de l'enseignement tant public que privé et en infligeant à deux de ses comparses plusieurs années de mises à pied sans salaire. Or, jamais S. LETCHIMY ni le PPM n'ont fait leur mea culpa ! Bien au contraire, ils ont continué à soutenir les mafieux "anba-fey" et avec le changement de présidence à l'Université des Antilles, ils s'imaginent pouvoir subrepticement rétablir le système d'antan.

   Reste à espérer que dans l'intervalle, la justice pénale fera son travail, que l'enquête sera bouclée et que les 43 personnes impliquées dans le scandale du CEREGMIA, tant en Martinique qu'en Guadeloupe et en Guyane, seront convoquées à la barre du tribunal pour répondre de leurs actes. Et surtout qu'elles seront condamnées à rembourser les sommes qu'elles ont subtilisées car pour l'heure, c'est l'Université des Antilles qui rembourse chaque année 750.000 euros pour couvrir le trou de 10-14 millions d'euros creusé par ces mêmes personnes et cela jusqu'en 2021.

   Chacun sait comment a fini le scandale du CREDIT MARTINIQUAIS : la justice s'est montrée si lente que les principaux protagonistes ont eu le temps de décéder avant que l'affaire soit jugée. Revivrons-nous la même chose s'agissant du scandale du CEREGMIA ?...

LE MIEL "VALEURS PARC" DE MARTINIQUE AU SALON INTERNATIONAL DE L'AGRICULTURE

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LE MIEL "VALEURS PARC" DE MARTINIQUE AU SALON INTERNATIONAL DE L'AGRICULTURE

 	 LE MIEL "VALEURS PARC" DE MARTINIQUE AU SALON INTERNATIONAL DE L'AGRICULTURE

#SIA2017: Du 25 Février au 5 Mars 2017, le Parc Naturel de Martinique proposera le #miel et le #manioc "Valeurs Parc" de Martinique aux très nombreux visiteurs du salon #àsuivre

Nous sommes fiers de constater que le site officiel du Salon International de l'Agriculture (SIA) illustre sa page des produits du terroir avec notre miel #ValeursParc de Martinique

Source PNM 

https://www.salon-agriculture.com/Le-salon/Actualites-du-salon/Que-faire...

La Réunion, 6ème région la plus corrompue de France

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La Réunion, 6ème région la plus corrompue de France

actus.clicanoo.re
La Réunion, 6ème région la plus corrompue de France

Palmarès. D'après l'association Transparency France, la Réunion serait la 6ème région la plus corrompue du pays. 24 affaires ont été répertoriées sur le territoire entre 1984 et 2013.

D'après Transparency France, qui vient de rendre publique sa cartographie de la corruption en France, La Réunion occuperait la 6ème place des régions les plus corrompues du pays. Section française de Transparency International, un mouvement mondial de lutte contre la corruption, l'association recense à ce jour 675 affaires de corruption dans toute la France, outre-mer compris, et notre territoire concentre 24 affaires entre 1984 et 2013.

 

Prises illégales d'intérêt, emplois fictifs...

Les noms des personnes condamnées n'apparaissent jamais, mais toutes ont vu leurs méfaits relayés par les médias. La cartographie interactive, consultable en ligne, nous rappelle par exemple que "le maire de Cilaos a été condamné par la cour d'appel de Saint-Denis, à 8 mois de prison avec sursis et 10 000 euros d'amende pour prise illégale d'intérêts, faux et usage de faux, dans une affaire liée à l'aménagement d'une route départementale" en 2008 ; elle nous rappelle aussi "qu'une ancienne fonctionnaire de la préfecture a été condamnée par le tribunal correctionnel de Saint-Denis à 3 ans de prison avec sursis, assortie d'une amende de 40 000 euros pour une affaire de corruption dans le cadre d'achats d'agréments"; ou encore qu'un "conseiller prud'hommal de La Réunion et dirigeant d'entreprise a été condamné par le tribunal correctionnel de Saint-Denis à 4 mois de prison avec sursis, 5 000 euros d'amende et interdiction de tous ses droits pendant 5 ans, pour abus de confiance, travail dissimulé et absence de déclaration" en 2013...

Les infractions vont bien au-delà du cercle pénal et renvoient pour la plupart à des prises illégales d'intérêts, des détournements de fonds et biens publics, des affaires de marchés publics ou d'emplois fictifs... Toutefois Transparency France ne prend en compte que les affaires dans lesquelles des condamnations de justice ont été prononcées.

Avec 121 cas répertoriés en Île de France (qui est le plus peuplé), le territoire pourrait être considéré comme le plus corrompu de France, mais proportionnellement au PIB enregistré par les régions, il ne se retrouve qu'à la 12ème place du classement. Ce sont donc les îles qui arrivent en tête de ce triste palmarès : devant La Réunion (avec un indice de 14,7), on retrouve ainsi Saint-Martin avec un indice de 95, suivi de la Polynésie (49), la Corse (32), Mayotte (28) et la Guyane (18).

Interrogé par La1ere.fr, Raymond Bonomo, l'un des nombreux bénévoles de l'organisation française, assure qu'en dépit des chiffres, "les élus ne sont pas tous pourris". Et de penser qu'en limitant "à trois le nombre de mandats consécutifs dans le temps", on lutterait plus efficacement contre la corruption. "La classe politique doit se régénérer, évoluer, se renouveler... La politique est l'affaire de tous", dit-il.

Un avis que semble partager la population. Dimanche dernier, à l'appel du "simple citoyen" Vincent Galtier, plusieurs rassemblements ont été organisés dans quelques grandes villes de France, dont Paris et Toulouse, pour dénoncer la corruption d'élus.

 

Pour en savoir plus sur le classement : transparency-france.org

 

N.T.

 

Source : http://actus.clicanoo.re/article/faits-divers/1430245-la-r%C3%A9union-6%C3%A8me-r%C3%A9gion-la-plus-corrompue-de-france

 

QUAND YOUSSOUFI TOURE PAYAIT SES AMIS EN NATURE...

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QUAND YOUSSOUFI TOURE PAYAIT SES AMIS EN NATURE...

Christophe THEGAT. SNUEP FSU.
QUAND YOUSSOUFI TOURE PAYAIT SES AMIS EN NATURE...

Il n’aura pas fallu gratter trop longtemps pour que le système pervers du feu recteur Youssoufi TOURE, déjà très décrié à Orléans, éclate au grand jour..

Après l’affaire des cadeaux de Noël (foie gras, champagnes, primes exorbitantes…), voici l’affaire des petits services en nature.

 

TOURE LE BIENFAITEUR-DONATEUR

 

On le sait : l’ancien recteur avait le cœur sur la main et les bourses pleines, des Université d’Orléans et Rectorat de Guyane.

C’est ainsi que tous ses soutiens se sont vus arrosés (article paru dans la presse nationale) de primes diverses et d’avancement de carrière à la pelle.

En Guyane, ce recteur qui n’hésite pas mettre à disposition ses bourses remplies, ne laissera personne insensible. Et lui-même d’ailleurs ne s’en cachera pas : il était prêt à mettre tous les moyens pour que l’académie réussisse et se développe.

Cette nouvelle façon de gouverner aura ses affidés : les seuls qui pleureront son départ et se presseront pour boire ses faveurs et avaler les petits fourrés à la crème, de son pot de départ.

 

DES CDI ACCORDES EN CACHETTE :

 

Le SNUEP FSU Guyane aura été le premier à révéler cette sombre affaire, alors que tout le rectorat et surtout toute la gouvernance des SG, DRH, Directrice de cabinet étaient bien au courant : TOURE aura donc accordé des CDI aux collègues qui auront fait la queue pour le mériter.

Bien-sûr, tous ne bénéficieront pas de ce graal…Seuls ceux que le feu recteur aura décrétés comme « exceptionnels », doués de talents hors du commun, de profondeurs de point de vue et dispositions remarquables, jouiront de ce privilège.

C’est d’ailleurs là que le bât blesse…Personne n’est dupe dans cette histoire. Personne n’accepte ces « cdisations » pour services rendus ou pour mérites exceptionnels. Personne n’est prêt à les reconnaître en tant que tels.

La cdisation ne se justifiait pas !

Car, il n’y a plus de couillons en Guyane : les derniers sont repartis en 1953 avec les derniers bagnards…

 

LE NOUVEAU RECTEUR ALAIN AYONG LE KAMA S’ARRACHE LES CHEVEUX :

 

Le recteur AYONG LE KAMA n’est pas un imbécile. Il a très vite réalisé qu’il héritait d’un parépou brûlant. Il sait que la gouvernance qui l’entoure et fait semblant de découvrir ces CDIS, est une belle petite bande de menteurs !

Il lui sera impossible d’être audible et d’expliquer cette faveur accordée par son prédécesseur et l’équipe qui l’entoure.

Ces avantages en nature ne passeront pas au sein de son rectorat.

Et ce n’est pas une dérogation à un dispositif de loi, brandi penaudement qui parviendra à calmer les Personnels.

Cette affaire est désastreuse pour l’image du rectorat et le mépris qui en ressort, pour une partie des Personnels.

 

UN RECTORAT DIVISÉ EN 2 ETAGES  

 

En toile de fond de cette « affaire » de cdisation, il y a l’opposition de deux mondes, de 2 étages qui pourtant travaillent ensemble, qu’entretient la gouvernance dont tout le monde souhaite le départ :

 

·         l’étage du haut, celui des reines fertiles, celui des bonnes, compétentes et intelligentes, au parcours exceptionnel qui sont les seules à mériter des CDI

·         l’étage  du bas, celui des ouvrières, ces « petites mains » utilisées pour cette raison pour des « petites tâches », pas indispensables, qui doivent trimer pendant 6 ans pour obtenir un CDI et qui ne « méritent » que le CDD.

 

Personne ne calmera la colère des petites mains du bas, toujours méprisées, qui ont droit à des pacotilles en fin d’années, alors qu’en haut on se partage des milliers d’euros.

Alain AYONG LE KAMA le sait très bien : personne ne veut de remérage.

Les personnels qui travaillent, aspirent tout simplement aux mêmes droits, aux mêmes avantages quel que soit l’étage.

Il aura à faire face à une crise de revendications légitimes que porteront les vrais syndicats et les collègues de son académie.

Si seuls les cadres A ont droit à cette disposition de CDI anticipé (dès recrutement), il devra par équité et justice, mais aussi respect pour les Personnels, transformer tous les CDD des cadres A de Guyane.

Les Professeurs contractuels et le SNUEP FSU Guyane sont déjà en train de l’interpeller à ce sujet.

Sa ki bon pou zwa, bon pou kanna !!!!


La société Béké entre racisme et névrose

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La société Béké entre racisme et névrose

leblogdugriot.over-blog.com
La société Béké entre racisme et névrose

L’ouvrage est peu connu mais fondamental, Les blancs créoles de la Martinique (éditions L’Harmattan) écrit par l’ethnologue Edith Kovats-Beaudoux.

Quelques extraits :

« Pour la majorité des hommes créoles, la femme blanche symbolise la réserve sexuelle, la discipline, le refus du plaisir, tandis que la femme noire représente la liberté sexuelle, la promiscuité et plaisir charnels. Cette dernière est « lascive, immorale et accessible » et la blanc s’arroge un droit sur elle »

« le blanc est tourmenté par le mythe de la virilité du noir qu’il a lui-même créé et nombreuses sont les allusions fabuleuses que nous avons entendues concernant les dimensions de l’organe sexuel ou les prouesses des noirs. » p 137

« On évite autant que possible de recevoir des gens de couleur chez soi, surtout si des femmes blanches sont à la maison »

« Un noir « bien élevé » s’abstiendra d’inviter une créole à danser car il sait que cette démarche est mal vue par les « blancs » p 147

Cette étude correspond à la société béké martiniquaise des années soixante.Le sujet est absolument tabou en France.L’ouvrage est peu connu mais fondamental, Les blancs créoles de la Martinique (éditions L’Harmattan) écrit par l’ethnologue Edith Kovats-Beaudoux. Suite à une enquête de terrain effectuée en 1965-1966, l’auteure a radiographié de manière scientifique, selon les méthodes de l’ethnologie (ordinairement appliquées aux « primitifs ») le monde très fermé de la minorité martiniquaise (1% de la population) dont la particularité, outre la richesse et le fait de descendre directement des colons esclavagistes des 17e et 18e siècles, est de ne se reproduire – en tout cas dans le cadre légal du mariage – qu’en fonction du préjugé de la pureté « raciale » : les Békés.

Edith Kovats-Beaudoux a pu réaliser une enquête très objective et très documentée du fait qu’elle n’avait aucune attache avec la société coloniale et que ses origines hongroises la mettaient à l’abri de toute méfiance de la part de ceux qu’elle étudiait et qui l’accueillirent très chaleureusement comme une des « leurs » (en apparence) allant jusqu’à oublier ou à minimiser ce qu’elle était venue faire. Le livre qui en ressort est littéralement terrifiant par sa description d’un monde dont le seul fondement semble être le racisme et la névrose. Ce qui inquiète également à la lecture de cet ouvrage, c’est la manière dont l’élite des Afro-descendants semble s’accommoder d’une situation présentée comme humiliante. Il convient de rappeler qu’à l’époque de l’enquête, Aimé Césaire était le chef incontesté de la Martinique.

 

Source : http://leblogdugriot.over-blog.com/2016/08/la-societe-beke-entre-racisme-et-nevrose.html

ENTREPRISES—TOP 500 DE L’ÉCO AUSTRAL: GML talonne les groupes réunionnais Vindémia et Bernard Hayot

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ENTREPRISES—TOP 500 DE L’ÉCO AUSTRAL: GML talonne les groupes réunionnais Vindémia et Bernard Hayot

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ENTREPRISES—TOP 500 DE L’ÉCO AUSTRAL: GML talonne les groupes réunionnais Vindémia et Bernard Hayot

161 entreprises mauriciennes figurent dans le dernier classement

Le conglomérat mauricien GML se retrouve à la troisième place du « Top 500 de l’océan Indien 2015 » de la revue L’Éco Austral, précédé de deux groupes réunionnais : Vindémia et Bernard Hayot. Ce classement des entreprises de La Réunion, Maurice, Madagascar et Mayotte est basé sur les chiffres d’affaires réalisés pour l’année se terminant au 31 décembre 2013 (pour certaines) et à fin juin 2014 (pour d’autres). On y retrouve 161 sociétés mauriciennes contre 206 de La Réunion, 123 de Madagascar et 10 de Mayotte.
Selon L’Éco Austral, le trio de tête de ce classement des Top 500 a creusé l’écart : Vindémia, filiale de Casino, groupe français de grande distribution, affichait pour l’exercice financier se terminant en décembre 2013 un chiffre d’affaires de 862 millions d’euros. Le groupe Bernard Hayot, multinationale d’origine antillaise, avait enregistré pour la même année un chiffre d’affaires de 810 millions d’euros alors que le groupe GML avait dégagé un montant de 790 millions d’euros. L’Éco Austral souligne la « forte croissance » de GML (+ 13 %) qui talonne le groupe Bernard Hayot. Celui-ci, à son tour, s’est rapproché de Vindémia dont le chiffre d’affaires a connu un tassement du fait, entre autres, de la concurrence dans le secteur de la grande distribution à l’île sœur.
Selon la dernière édition du « Top 500 de l’océan Indien », un autre groupe mauricien, en l’occurrence IBL, occupait la quatrième place avec un chiffre d’affaires estimé à 493,1 millions d’euros, précédant Air Mauritius, le groupe Caillé (Réunion), Jovenna Madagascar, Système U, Air Austral et Groupe Excellence, toutes de la Réunion. On relève également la présence de Food and Allied Group (11e), de Vivo Energy (13e), du Groupe Socotoa (15e), d’ENL (21e), de… la BAI (24e), de CIEL (26e), Total Mauritius (27e) et de Jan de Nul Pacific (29e) parmi les 30 plus importantes entreprises en termes de chiffre d’affaires.
Le Top 500, indique la direction de L’Éco Austral, s’est enrichi de l’arrivée d’entreprises malgaches pour lesquelles la revue économique a pu recueillir des informations qui, dans le passé, restaient très confidentielles. Le pétrole et les mines forment les deux grands secteurs économiques de Madagascar. « Ce sont d’ailleurs les mines qui ont tiré la croissance de 2,6 % enregistrée en 2013 et de 3,7 % annoncée pour 2014 », souligne la revue. Concernant Maurice, L’Éco Austral indique que le pays a réalisé une nette progression de son Produit Intérieur Brut par habitant. Celui se situe à 7 339 euros mais est encore loin de celui de La Réunion (19 477 euros). L’écart se réduit, précise L’Éco Austral : « Il n’y a pas si longtemps il était trois fois supérieur. »
L’économie réunionnaise, ajoute la revue, est aujourd’hui dominée par des entreprises appartenant à des multinationales ou à des groupes français. Maurice, en revanche, a réussi à garder la main sur son économie. « Les leaders des principaux acteurs de l’économie mauricienne sont des entreprises à capitaux mauriciens ou contrôlées par des acteurs mauriciens, y compris le secteur bancaire dominé par la MCB. Des groupes, comme CIEL, ont su habilement faire entrer dans leur capital des fonds d’investissement internationaux tout en gardant le contrôle, au moins en droits de vote », observe L’Éco Austral. À Mayotte, par ailleurs, le tissu d’entreprises privées reste très mince, rapporte-t-elle. « Des entreprises doivent subir des rattrapages sociaux rapides notamment au niveau des salaires sans que la productivité ne suive forcément », fait ressortir L’Éco Austral.
Notons, par ailleurs, que dans le classement des banques (31 au total), c’est la Mauritius Commercial Bank qui pointait en tête avec un produit net bancaire de 261,2 millions d’euros (pour l’exercice financier prenant fin au 30 juin 2014) devant la State Bank of Mauritius (226,6 millions d’euros en 18 mois et à fin décembre 2013). La troisième place était occupée par le Crédit Agricole Mutuel de La Réunion (179,7 millions d’euros).

 

Source : http://www.lemauricien.com/article/entreprises-top-500-l-eco-austral-gml-talonne-les-groupes-reunionnais-vindemia-et-bernard-ha

QUELLES FRANCHISES SE DEVELOPPENT EN MARTINIQUE ?

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QUELLES FRANCHISES SE DEVELOPPENT EN MARTINIQUE ?

http://www.toute-la-franchise.com
QUELLES FRANCHISES SE DEVELOPPENT EN MARTINIQUE ?

Surnommée l’ile aux fleurs, la Martinique est un archipel qui présente beaucoup d’opportunités et de potentiel de développement. L’économie martiniquaise est caractérisée par un revenu par habitant correspondant au trois quarts de la moyenne nationale. Néanmoins la Martinique est classée comme l’un des territoires les plus riches des Petites Antilles. Les activités marchandes et non marchandes représentent les deux tiers du PIB. L’industrie de son côté apporte 13% de la richesse de cet archipel. Le reste des activités (construction, tourisme, agriculture et autres) sont plus ou moins marginales. 

Les caractéristiques du secteur primaire

Auparavant, cette économie martiniquaise était principalement marquée par les activités agricoles. Cette île a hérité et perpétué ces activités depuis la période coloniale. Cependant, la situation est actuellement paradoxale avec un secteur agricole fortement présent dans les faits mais à la traine en termes de chiffres. En effet, la part de ce secteur est relativement faible dans la constitution du PIB de la Martinique (environ 4%). Le secteur est caractérisé aujourd’hui par une agriculture triangulaire « banane-canne-rhum ». Cela constitue en revanche un pôle fondamental de cette économie. D’une façon générale, il n’est pas facile de parler d’une économie structurée à ce niveau. Quant à la pêche, elle se caractérise par une organisation artisanale aussi bien chez les pêcheurs que chez les vendeurs. Selon les statistiques, la consommation locale des produits de la pêche est largement supérieure à la production. Le secteur primaire emploi quand même une masse non négligeable de travailleurs.

Les métiers de la transformation

En ce qui concerne le secteur industriel, on note la présence des sous-secteurs activités comme la transformation agro-alimentaire, l’énergie, la transformation des ordures (le traitement des déchets), l’imprimerie, la reproduction et l’édition. À cela s’ajoutent les activités de transformation du bois, l’ameublement, la chimie, la production de matières plastiques et le travail des métaux. Toutes ces activités sont en expansion en raison de certaines mesures prises par les autorités martiniquaises. Le groupe Bernard Hayotjoue un rôle majeur en termes d’emploi en raison de son large champ d’intervention. Il s’agit de la grande distribution, des constructions, de la pneumatique et de l’agroalimentaire. Le sous-secteur des matériaux de construction est celui qui connait le plus de croissance après l’industrie agroalimentaire. 

Troisième secteur économique de la Martinique, l’industrie fait preuve d’un dynamisme sans précédent. Il est à noter que ce secteur connait des créations d’entreprise. Ce secteur emploie plus de 7% de la main d’œuvre, soit 4200 personnes pour 135 sociétés réalisant un chiffre d’affaires d’environ 1,4 milliard d’euros chaque année. Par ailleurs, certains réseaux commencent par se développer. Il s’agit de la production du chocolat, des pâtisseries, des biscuits, des produits frais et des jus de fruits et légumes. Comme franchises présentes dans le secteur, on peut citer Mobalpa, Laforêt Franchise, Subway, Yéti, Caroline B. Chocolate ou encore Autosmart International

La révolution digitale

D’autres réseaux comme l’économie numérique et les énergies renouvelables sont aussi en plein développement. En effet, presque 95% de la population martiniquaise possède un accès à internet avec une connexion de qualité. Cela permet le développement et la création de certaines activités. Ainsi, les secteurs traditionnels sont en train de connaitre une transition digitale. C’est d’ailleurs ce qui explique les actions de l’association MartiniqueTech qui met en œuvre des programmes visant à promouvoir l’emploi dans ce secteur. Les éléments nécessaires pour le développement de l’économie numérique sont présentes aussi bien en termes de ressources (idées, ressources humaines et capitaux) qu’en termes d’infrastructures. Une nouvelle génération d’activités est en train de voir le jour sur le territoire martiniquais. Plusieurs acteurs à divers niveaux s’investissent dans le domaine du digital. On distingue à cet effet des entrepreneurs, des acteurs du web, des développeurs ou encore des fondateurs de startups. Le but commun de tous est d’apporter leur savoir-faire au développement de ce secteur en phase d’éclosion. Cela suggère que ce réseau offre d’énormes opportunités d’emplois diversifiés. 

En matière d’énergies renouvelables, la Martinique est un territoire permettant à tous d’avoir accès aux énergies renouvelables. Cela n’est pas étonnant étant donné que la Martinique est autonome énergétiquement. Un partenariat public privé représenté par Énergie de Martinique (EdM) assure la transition énergétique grâce au développement de solutions de production d’énergie. Une franchise martiniquaise dénommée SuperGreen Solutions opère également dans ce sous-secteur dans le cadre de la mise en œuvre des objectifs énergétiques à l’horizon 2020. En effet, il est question de produire la moitié de la consommation en énergie électrique à partir des énergies renouvelables. On note aussi la présence de la franchise Turbo Fonte qui est également un acteur majeur. 

Le moteur de l'économie

Quant au secteur des services, c’est le secteur qui domine l’échiquier économique en Martinique. Il contribue au PIB avec un taux très élevé (soit 82% du PIB). Il emploie plus de 80% de la main d’œuvre disponible. Sachant que la Martinique est grandement influencée par la France, on note des filiales comme Carrefour, le Groupe Safo et Proxi. Ces filiales opèrent principalement dans le domaine de la grande distribution. Cette dernière comprend 8 hypermarchés et 54 supermarchés répartis sur une surface de plus de 70 000 M2. La commercialisation des véhicules sur le territoire est caractérisée par la présence 33 marques proposant près de 200 modèles de voitures dans de nombreuses concessions. Le commerce emploi à lui seul 12% de la main d’œuvre. 

Le sous bancaire et financier en Martinique est organisé en divers réseaux d’établissements de crédits. Le taux de bancarisation connait une croissance d’année en année. La Banque de France, Angélus et In&Fi Crédits sont présents sur le marché. Concernant le BTP, le secteur a connu une amélioration ces dernières années notamment avec les travaux routiers, les programmes de logement sociaux et d’autres chantiers d’envergure. Le BTP contribue à près de 7% à la valeur ajoutée en termes économiques. Il emploi une part non négligeable de main d’œuvre, cela devrait augmentée avec les grands projets qui semble s’annoncer. Enfin, le tourisme regorge assez d’activités notamment l’hôtellerie-restauration qui est pleinement ancrée dans l’économie avec une main d’œuvre directe ou indirecte qu’elle mobilise (6500 personnes sont employées). De nos jours, le tourisme impacte positivement la dynamique économique qu’on pourrait observer. Il a permis d’atteindre la barre des 500 000 visites par an. Ce chiffre devrait connaitre une croissance grâce aux efforts de promotion encours. 

Ce qu'il faut retenir

Somme toute en Martinique, on distingue principalement six secteurs qui contribuent à la réduction du chômage. En effet, ce territoire possède des activités stratégiques ouvrant les portent aux investisseurs. Les autorités adoptent des politiques publiques incitatrices de création d’emplois. C’est le cas de la politique fiscale (allègements fiscaux) qui vise à augmenter la compétitivité des entreprises. Il est donc indéniable que les réseaux et secteurs d’activités évoqués bénéficient d’un accompagnement. Pour finir, la Martinique présente un attrait incontestable pour les investisseurs à la recherche d’un cadre de vie confortable et moderne. Le climat des affaires est donc idéal à tous.

Chloé Gagnon, Toute la Franchise ©

QUAND RCI ET MARTINIQUE 1è REVENT D'UNE CANDIDATURE DU DEFENSEUR DU CEREGMIA

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QUAND RCI ET MARTINIQUE 1è REVENT D'UNE CANDIDATURE DU DEFENSEUR DU CEREGMIA

QUAND RCI ET MARTINIQUE 1è REVENT D'UNE CANDIDATURE DU DEFENSEUR DU CEREGMIA

   Le petit monde du journalisme à la Martinique est tellement amusant que parfois, ça en devient grotesque. C'est ainsi que depuis quelques mois, certains journalistes tant de RCI que de MARTINIQUE 1è  s'agitent comme de beaux diables et poussent à la roue pour que non seulement Philippe EDMOND-MARIETTE, l'avocat du CEREGMIA (qui s'est courageusement retiré juste avant que la justice universitaire ne révoque son principal client, Fred CELIMENE, et mette à pied sans salaire et pour plusieurs années, les deux comparses de ce dernier) soit candidat sur la circonscription du Nord-Atlantique, mais pour qu'il soit aussi soutenu par le...MIM.

   La ficelle est tellement grosse qu'elle ressemble à une corde-Mahault, mais mal ficelée.

   On comprend que derrière ces manœuvres il doit bien y avoir des organismes occultes, les mêmes qui cherchent à reprendre le contrôle du Pays-Martinique après leur défaite cinglante de 2015, étant bien entendu que ladite défaite n'est pas uniquement celle du PPM/EPMN, mais aussi du G 20 et donc de certaines personnes du GRAN SANBLE. Seule la maestria politique d'Alfred MARIE-JEANNE ainsi que sa verticalité idéologique ont pu mettre en échec ce qui a relevé d'un véritable complot, mais l'horloge biologique tourne et chacun sait qu'à un moment ou un autre, "CHABEN" ne sera plus là pour faire taire les appétits des uns et des autres. Alors les héritiers potentiels ou putatifs affûtent leurs armes et recommencent à sortir du bois à l'occasion des prochaines élections législatives.

   Dans cette soupe-à-Congo de mauvais augure, la candidature de Philippe EDMOND-MARIETTE pourrait permettre de contrer un jeune loup, Fabrice DUNON, qui a eu le grand tort, aux yeux des comploteurs, d'avoir toujours montré et démontré une loyauté sans faille envers Alfred MARIE-JEANNE. Chose que ce dernier lui a rendu en annonçant publiquement son soutien à la candidature du Lamentinois dont personne ne pourra dire, connaissant les particularismes locaux et le nombrilisme de certains, qu'il n'a pas "bu l'eau de la rivière Longvilliers". 

   On devine que l'ex-défenseur du CEREGMIA trépigne d'envie de s'asseoir à nouveau dans les fauteuils rouges de l'Assemblée nationale. Mais pour y faire quoi ? Il a déjà été député et le moins qu'on puisse dire c'est qu'on n'a pas gardé un souvenir impérissable de son passage dans ce prestigieux hémicycle...

PWAWOUJ-LA BRILÉ

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Kréyolad 654

PWAWOUJ-LA BRILÉ

Jid
PWAWOUJ-LA BRILÉ

Joko té chanté an kannaval-la lanné pasé, pwawouj-la brilé. Ou sé di, ant Latrium ek lé zartis, sa ja ka brilé a dépasé.

Dapré mwen, non selman pwawouj-la ja ka brilé, mé ni lontan dlo dépasé farin. An boug téyat pa fè wol, mé i mété kò’y dan an wol boug ki énervé, misié anni fè an délij dévèsé anlè batiman Latrium-la. Mon boug antré karektèman épi katkat-li an lapot Latrium-lan.

Asiparéyo té bay travay lannépasé, ek yo mandé’y espéré titak, pas plen artis an péyi-a, é yo tout lé travay.

Adjilbè pozé kò’y anlo kèsion:

— Es Latrium sé ta nou obenta yo (Scène Nationale)?

— Nou sé kimoun?

— Artis isi oben artis lotbò?

— Es artis isi asé solidè?

— Es yo chak pa ka fè kon bètafé?

Dépi konmen tan Alfred ja las mandé otjipé di yo. Mé ou sé di an péyi Matinik-la, sélè ou mò ou ka trapé valé ek yo paré rikonnet ou.

Es fok artis jwé Latrium selman?

Es lé komin pa ni dwa ni spektak yo tou? Lasimenn pasé pa koté Chelchè yo monté an chapito. Es i pé pa alé adan dot komin Matinik? Es sé mè-a dakò pou sa?

Tout kandida (lèyo an kanpàn) ka di gwo gra vayan, lakilti potalan. Mé ou sé di dépi yo tapré manda-a, yo ka bliyé sa net. Lot simenn sé dé artis ki fini pran an gwo diplòm (doktora) ek ki poko sav si yo ké pé travay an péyi-a. Si tout artis oblijé pati pou rivé péyé loyé yo a la fenmwa-a, es pwawouj-la pé ké gaté an manniè définitif?

Dépi ni mwens lajan, sé anlè bidjé kiltirel yo ka bésé. Poukisa?

Antouléka, érezdibonné Ervé pa té ni an tank oben an vàn plen dlo, sinon sa té ké néyé moun toubannman.

Vréman vréman apré sa, pa té ké rété pwawouj ankò!

Jid

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Bel poveb kréyol 404

«Tout jé sé jé, kasé bwa an tjou makak pa jé.»

An pa ni asé biten ba'w ?

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An pa ni asé biten ba'w ?

An pa ni asé biten ba'w ?

   La période de carnaval est propice aux "rigoladeries" en tous genres et c'est là, qu'on s'e offusque ou pas, un moyen de décompresser individuellement (comme on peut le voir dans la vidéo ci-après) tout en étant une véritable soupape au niveau social. Mais attention, fout ! Quand Vaval sera téré mèkrédi-dés-sann, quand jeudi bomaten arrivera, le jeu va changer tout bonnement car "La Gwadloup va souffère ! La Martinique va souffère !"...

Document: 

ALFRED MARIE-JEANNE EK FRANCIS CAROLE TE AN KANNAVAL FODFWANS LAN

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ALFRED MARIE-JEANNE EK FRANCIS CAROLE TE AN KANNAVAL FODFWANS LAN

ALFRED MARIE-JEANNE EK FRANCIS CAROLE TE AN KANNAVAL FODFWANS LAN

  Pou tou sa ka rakonté pawol initil konmkwa Alfred MARIE-JEANNE two vié, tou sa ki ka mandé i ladjé lapolitik, enben "CHABEN" ba yo an bel lison adan kannaval lanné 2017 tala ! Kon nou pé wè anlè sé foto-a ki ka ilistré artik-tala, i partisipé adan sé vidé Mardi-gra a asou an cha épi Francis CAROLE bò'y.

  Met-a-manyok lè MIM kantékant épi met-a-manyok PALIMA.

   Sa ki pa kontan, toufé !...

Image: 

Muriel Palandri, gérante de la société "DATEX", avec Marine Le Pen au Salon de l'Agriculture

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Muriel Palandri, gérante de la société "DATEX", avec Marine Le Pen au Salon de l'Agriculture

Muriel Palandri, gérante de la société "DATEX", avec Marine Le Pen au Salon de l'Agriculture

   Décidément, le dernier Salon de l'Agriculture de Paris aura été bien mouvementé. Après François FILLON qui s'est défilé au dernier moment de peur de se faire enfiler par une vache landaise tel un vulgaire THEO, après Emmanuel MACRON qui a reçu un œuf sur la tronche de blanc-marron, après Alex URI qui a fait un selfie d'un air ahuri, voire ébaubi, avec Marine LE PEN, après Juvénal REMIR qui a remis au même moment son sourire niais de commandeur  de bite nation (-al), après BREDAS, le cuisinier, qui a presqu'étouffé Marine comme qui dirait un cochon créole à la veille de Nwel, il y a eu aussi, parmi les admirateurs de ce "manger-cochon" front-nationalesque, la dame Muriel PALANDRI, patronne de la société "DATEX", dont voici le pedigree...

Informations générales sur DATEX MARTINIQUE

DATEX MARTINIQUE, SARL au capital de 375 000€, a débuté son activité en janvier 1999.

Muriel PALANDRI est gérant de la société DATEX MARTINIQUE. Le siège social de cette entreprise est actuellement situé zac Etang z Abricot - 97200 Fort de france

DATEX MARTINIQUE évolue sur le secteur d'activité : Restauration

Raison socialeDATEX MARTINIQUE
Sigle 
Enseigne 
Actionnaires et filiales1 Actionnaires ou filiales + de détails
Dirigeants1 dirigeant(s) + de détails
Adresse
ZAC ETANG Z ABRICOT
C.A AGORA-BAT A
97200  FORT DE FRANCEVoir la carte

Téléphone

Afficher le téléphone
Fax05.96.50.82.89
Forme juridiqueSARL
Date de créationCréée le 11/01/1999
 Derniers statuts à jour+ de détails
Capital Social375 000 €
SIREN421 984 295
SIRET421 984 295 00046

Numéro de TVA

Obtenir le numéro de TVA intracommunautaire
Code APE / NAF5629B / Autres services de restauration n.c.a.

Dirigeant - DATEX MARTINIQUE

GérantMme PALANDRI Muriel

 

NON A L’OPÉRATION IMMOBILIÈRE ILLÉGALE AU QUARTIER JAMBETTE (SAINT JOSEPH)

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NON A L’OPÉRATION IMMOBILIÈRE ILLÉGALE AU QUARTIER JAMBETTE (SAINT JOSEPH)

NON A L’OPÉRATION IMMOBILIÈRE ILLÉGALE AU QUARTIER JAMBETTE (SAINT JOSEPH)

A Saint Joseph, un terrain de 17 hectares situé le long de la rivière Jambette et à proximité d'une mare, initialement classé en zones agricole et inondable, a fait l'objet d'un déclassement en zone urbanisé par la ville pour un projet communal qui s'est transformé en un projet immobilier privé de 175 logements et un hôtel de plus de 100 chambres. Ce projet souffre de nombreuses irrégularités au droit des codes de l'urbanisme,  de l'environnement (ex : l'absence d'assainissement collectif pour cette zone dans le Plan Local d'Urbanisme de la commune) et du code forestier (ex : le défrichement illégale de 3 hectares).

Le Collectif pour un aménagement durable et concerté, constitué des riverains du quartier Jambette, et l'ASSAUPAMAR

 

vous convie à une conférence de presse ce samedi 04 mars à 10 h au quartier Jambette pour constater :

 

- l'arrêt du chantier du promoteur de cette opération immobilière suite au recours gracieux du Collectif adressé au préfet,

 

- l'étendue des dégâts environnementaux causés par ce chantier ( destruction des berges pour l'implantation d'un muret de 6 mètres, destruction de la faune et la flore de la mare suite aux rejets de la centrale de béton, rejets d'embâcles entraînant des inondations sur la rive droite de la rivière Jambette...).

 

 

Les salutations d'écologistes martiniquais

Le Président de l'ASSAUPAMAR

Olivier BERISSON

 

Contact : 0696 81 67 64

AN VIÉ SON TANBOU !

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Kréyolad 655

AN VIÉ SON TANBOU !

Jid
AN VIÉ SON TANBOU !

Mèkrèdi pasé pliziè tanbou rété son yo. An met tanbou misié Datanian Lapò pousé lapot latilié’y ek i kité anlo tanbou ek tanbouyé estébékwé.

Sé kondisiré sé lapo tanbou-a té désidé pa sonnen ankò jik sanmdi bonmaten. Sé jou-tala yo désidé fè an gran omaj pou gran vwayaj li a. Anlo tanbouyé té ni lapenn, mé pli red la, savrè si Dartanian ni tan montré moun ki manniè pou jenn manmay kontinié fè tanbou.

Pandan lontan yo di sé «bagay vié-neg». Menmsi jòdijou nou ka wè bèlè ka fléri toupatou kon flérinwel an mwa désanm. Nou ni swaré bèlè toupatou an péyi-a. Ou pé jwenn «moman bèlè», «swé-bèlè» «Jim-bèlè» épi kisasayésa. Manmay pofité aprann dansé ek chanté épi sa ki la, pou nou pa ped dansé bèlè-a, an manniè définitiv. Pas asiré nou ké ped sadin épi karang ek nou ké rété pou lapléré.

Lè man palé an vwazin di Dartanian Lapò, manzel pa té kontan pies. Fok man di zot manzel pa enmen zafè tanbou-a pies toubannman. Daprè’y sé yenki bri kalté enstriman-tala ka fè. Yo té pou entèdi sa net. Tout sé jou-tala épi kannaval sa ka rann manzel étik ek chimérik. Sé group-la ka antréné jik koté wonzè’d swè. Lè sé pa «La bet a fé parad» «Parad lisid» «Parad linò» é sé jou gra-a poko menm rivé.

Kon zot pé wè, sé pa tout son tanbou ki pé fè moun plézi. Sé moun-la ki sé jou-tala ka di dapré lakat marin, yo anvi pasé «lepèn» an tet yo. Pengad yo pa trapé lapenn. Man pa lé ba pèsonn konsèy, mé akondi pawol-la apré bal, tanbou lou.

Jid

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Bel poveb kréyol 405

«Achté tanbou pa ayen, sé kwenyen’y ki tout».

"MARTINIQUE-ECOLOGIE" A SAINTE-MARIE

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"MARTINIQUE-ECOLOGIE" A SAINTE-MARIE

"MARTINIQUE-ECOLOGIE" A SAINTE-MARIE

   Samedi 04 mars, dans la matinée, des militants du parti "MARTINIQUE-ECOLOGIE" ont procédé à une distribution de "flyers" dans les principaux quartiers de la ville de Sainte-Marie (côte Nord-Atlantique de la Martinique).

Conduits par leur président, Louis BOUTRIN, conseiller municipal d'opposition dans la ville du Carbet et membre du conseil exécutif de la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique), ces militants ont voulu faire mieux connaître un parti plutôt discret quoiqu'il ait une douzaine d'années d'existence. Rappelons que MARTINIQUE-ECOLOGIE fait partie de la coalition du GRAN SANBLE rassemblant le MIM, le RDM, le PALIMA, le PCM et le CNCP, coalition qui au deuxième tour des élections territoriales de la mi-décembre 2015 s'est alliée à la Droite à savoir POU BA PEYI-A AN CHANS, ce qui a permis une victoire écrasante (54% des suffrages exprimés + 15.000 voix d'écart) sur la coalition EPMN (Ensemble Pour une Martinique Nouvelle) rassemblée autour du PPM et de son leader Serge LETCHIMY.

   Aux réunions mensuelles chez l'habitant dont MARTINIQUE-ECOLOGIE est coutumier s'ajouteront désormais des actions sur le terrain comme ce fut le cas à Sainte-Marie...

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PROJETS ALBIOMA : NON A LA DEPENDANCE DE MARIE-GALANTE ET DES OUTRE-MER AUX ENERGIES POLLUANTES

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PROJETS ALBIOMA : NON A LA DEPENDANCE DE MARIE-GALANTE ET DES OUTRE-MER AUX ENERGIES POLLUANTES

PROJETS ALBIOMA : NON A LA DEPENDANCE DE MARIE-GALANTE ET DES OUTRE-MER AUX ENERGIES POLLUANTES

Aujourd'hui la Guadeloupe, la Martinique, l'île de Sein, l'ensemble des îles et du peuple de France appellent l'Etat à mener une politique cohérente en matière de transition énergétique en soutenant ces territoires dans le développement de leurs unités d’énergies renouvelables et en suspendant les projets de production d’énergie fonctionnant à partir d’énergies fossiles et importées, en particulier le projet d’ALBIOMA à Marie‐Galante.

Cette centrale thermique de 10 MW fonctionnant à partir de bois du Brésil ou du Canada coûterait plus de 9 millions d’euros par an aux contribuables français tout en polluant le territoire marie‐galantais, au détriment du projet d’autonomie énergétique par les énergies renouvelables porté par la population de l’île qui souhaite valoriser ses ressources locales et s’inscrire dans une logique de développement territorial durable maîtrisé et exemplaire. 

 

NON AUX CENTRALES THERMIQUES BOIS IMPORTÉ D’ALBIOMA A MARIE‐GALANTE ET EN MARTINIQUE – OUI A LA MAÎTRISE DE NOTRE AVENIR ÉNERGÉTIQUE DURABLE POUR LES ILES DE FRANCE.

 

Pourquoi c'est important

 

A MARIE‐GALANTE, UNE CENTRALE THERMIQUE DU GROUPE ALBIOMA CONDAMNE LE PROJET DE CE TERRITOIRE QUI AMBITIONNE DE DEVENIR LA PREMIÈRE ÎLE FRANÇAISE AUTONOME EN ÉNERGIES RENOUVELABLES

 

Mobilisons‐nous pour ne pas être déposséder de la maîtrise du développement des énergies renouvelables dans nos territoires !

 

Alors que les élus et les habitants de Marie‐Galante (île de Guadeloupe), développent un projet ambitieux d'autonomie énergétique ‐ basé à 100% sur les énergies renouvelables locales ‐ lamultinationaleAlbioma tente d'intimider cette communauté et d'imposer la mise en œuvre d'une centrale thermique extrêmement coûteuse et polluante reposant sur

la combustion 7j/7, 24h/24de bois importé de forêts du Brésil ou du Canada. 

 

Une véritable aberration écologique et économique entièrement financée par le contribuable français, avec un budget de 80 millions d’euros pour son installation et de 9 millions d’euros par an pour l’importation du bois subventionnée via le dispositif de CSPE‐ Contribution au Service Public de l’Electricité ‐ que nous payons tous sur notre facture d’électricité,alors même que lesénergies renouvelables sont jusqu’à 2 fois moins chères en zones insulaires.

 

PAR MA SIGNATURE J’EXIGE QUE MES IMPÔTS SOIENT INVESTIS DANS LA TRANSITION ENERGETIQUE DES OUTRE‐MER AU LIEU D’EN FINANCER LA POLLUTION

 

Le scandale d’Albioma touche également la Martinique, où un projet similaire fait l’objet de forts mouvements citoyens portés devant les tribunaux, et plus généralement les îles françaises où sont favorisées le charbon, le fioul et le bois importé au détriment des projets d’énergies renouvelables mobilisant des ressources locales.

 

Les technologies d’énergies renouvelables sont aujourd’hui éprouvées et lesîles françaises disposent de toutes les ressources nécessaires‐ soleil, vent, géothermie, énergie des mers et biomasse locale ‐ pour produire leur propre électricité verte à des coûts très compétitifs

 

A Marie‐Galante, le projet d'autonomie énergétique, soutenu par la Communauté de Communes, ne relève pas d ‘une douce utopie mais d’une démarche environnementale, économique et sociale sérieusement étudiée. 

 

Ce projet – alternatif à celui d’ALBIOMA ‐ offrirait ainsi à la population marie‐galantaise la garantie d’un développement énergétique totalement maîtrisé, aux habitants de la Guadeloupe et de la Martinique l’espoir d’une reprise en main de leur avenir dans le cadre d’un véritable « développement durable » et à la France sa première île fonctionnant uniquement à partir d'énergies renouvelables d'ici 3 ans ! 

 

PAR MA SIGNATURE J’APPELLE L’ETAT A FAIRE DES ILES FRANÇAISES, LA GUADELOUPE ‐ EN PREMIER LIEU MARIE‐GALANTE ‐ ET LA MARTINIQUE, UN MODÈLE DE DÉVELOPPEMENT DES ENERGIES RENOUVELABLES ET A SUSPENDRE IMMÉDIATEMENT LES PROJETS POLLUANTS D’ENERGIES IMPORTEES.

 

Pour en savoir plus techniquement sur le projet d'autonomie énergétique de Marie‐Galante, découvrez cette vidéo [lien à copier/coller dans son naviguateur web] :

https://youtu.be/_i‐y_82Q0i0 

 

SOURCE : AVAAZ.org

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