Elections des doyens au campus de Schoelcher
UNE CELLULE D'AIDE PSYCHOLOGIQUE MISE EN PLACE POUR JULIE FREMONT ET SES ACOLYTES
Ce jeudi 06 octobre 2016 sera à marquer d'une pierre noire pour Julie FREMONT, alias FRED CELIMENE, et ses deux acolytes de la Faculté de Droit et d'économie du campus de Schoelcher, Kinvi LOGOSAH et Eric CARPIN. En effet, un coup de massue leur est tombé sur la tête suite à l'élections comme doyens des Faculté des Lettres et Sciences humaines ainsi que de Droit et d'Economie de deux femmes opposées à leur système mafieux. Depuis des semaines, FREMONT-CELIMENE avait multiplié les mails pour empêcher ce qui pour lui et les siens est rien moins qu'une catastrophe. Surtout en Faculté de Droit et d'Economie où notre bonhomme régnait en seigneur et maître sur le CEREGMIA, pseudo-groupe de recherches dont la principale occupation était le siphonnage des fonds européens.
Cette faculté était considérée par lui comme sa place forte, son bastion, son bunker même et voici qu'une femme vient de le conquérir haut la main en battant son concurrent par 12 voix contre 6. Il s'agit là d'une véritable Bérézina pour nos mafieux d'autant que dans la faculté d'à côté, celle des Lettres et Sciences humaines, le même scénario s'est produit : une femme (encore !) a battu leur candidat (un freluquet, il est vrai) à plate couture. Plus exactement par 11 voix contre 3 !
Désespérés, nos trois mafieux ont dû faire appel au SAMU et une cellule d'aide psychologique a aussitôt été mise en place afin de leur permettre de surmonter cette douloureuse épreuve et surtout de faire leur deuil de leur volonté d'hégémonie sur le campus de Schoelcher. Révoqués définitivement pour FREMONT-CELIMENE et mis à pied sans salaire pour 5 ans (LOGOSSAH) et 2 ans (CARPIN), il se dit que nos trois zouaves attendent la fin de la tempête Matthew pour gagner Haïti où FREMONT-CELIMENE possède plusieurs compagnies de pêche. Au moins pourront-ils continuer à commander quelque chose, fusse à des marins-pêcheurs haïtiens payés un dollar la journée c'est-à-dire férocement exploités en clair.
Bye-bye, Julie ! Et surtout ne reviens pas ! On en a marre d'avoir à lire tes conneries tous les trois jours...